Durant la Journée internationale des droits des femmes le 8 mars dernier, un groupe de femmes pro-IVG a commis des actes de vandalisme sur la façade d’une église évangélique de la ville de Luján, en Argentine.
Certains graffitis sont en faveur de « l’éducation sexuelle intégrale », d’autres symbolisent le mouvement de l’idéologie du genre. Le 8 mars 2024, à l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes, une église évangélique membre de l’Alliance chrétienne des Eglises évangéliques de la République argentine (ACIERA) a subi des actes de vandalisme.
Des foulards verts, symboles du mouvement pro-IVG, ont en outre été accrochés sur les vitres d’un centre international de louange voisin, dans la province de Buenos Aires. Un groupe de femmes en serait à l’origine selon l’ACIERA.
« À l’heure où la violence semble être monnaie courante dans notre société, il est impératif de rappeler l’importance de respecter et de tolérer les différences de pensée et de croyance », condamne Alejandro Espínola, secrétaire de l’ACIERA.
Il souligne que la diversité des opinions et des pratiques religieuses « enrichissent notre communauté et favorisent un environnement de respect mutuel ». Egalement pasteur de la communauté visée, il appelle à « promouvoir le dialogue et l’empathie comme outils » pour une société plus pacifique. La loi argentine permet le recours à l’IVG jusqu’à quatorze semaines de grossesse.
Source & Crédit Photo : Evangeliques.info