Le ministre de la Santé, de l’Hygiène publique et de la Couverture maladie universelle, Pierre Dimba, est à Brazzaville pour représenter la Côte d’Ivoire lors de la 74e session du Comité régional de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) pour l’Afrique.

Cette rencontre d’envergure, qui se déroule depuis le 26 jusqu’au 30 août 2024, est l’occasion pour le ministre ivoirien de partager les avancées réalisées par son pays dans le domaine de la santé publique.

En effet, la présence de Pierre Dimba à Brazzaville n’est pas le fruit du hasard, mais plutôt la preuve que la Côte d’Ivoire est sur la bonne voie pour renforcer ses systèmes de santé.

En prônant l’adage « qui veut aller loin ménage sa monture », le ministre réaffirme l’engagement de la Côte d’Ivoire à améliorer le bien-être des populations et à contribuer activement aux efforts régionaux, pour atteindre la couverture sanitaire universelle.

L’ouverture des travaux a eu lieu lundi 26 août 2024, dans le Palais des Congrès de Brazzaville. Cette cérémonie solennelle, présidée par le Président de la République du Congo, Dénis Sassou Nguesso, a réuni un parterre de personnalités influentes du monde de la santé, dont le directeur général de l’OMS, Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, et la directrice régionale sortante, Dr Matshidiso Moeti.

La présence des ministres de la Santé des 47 États membres de l’OMS dans la région africaine montre bien l’importance de ces assises, qui regroupent près de 1 000 participants.

Le moment fort de cette session sera sans conteste l’élection du nouveau directeur régional de l’OMS pour l’Afrique, successeur du Dr Matshidiso Moeti, dont le mandat touche à sa fin. Cette élection constitue, d’ailleurs, un enjeu majeur pour l’avenir de la santé publique sur le continent.

À travers cette participation active, la Côte d’Ivoire continue ainsi de faire entendre sa voix sur la scène internationale, en démontrant que « petit à petit, l’oiseau fait son nid ».

Le ministère de la santé ivoirienne, sous la houlette de Pierre Dimba, prouve que la santé publique n’est pas une course de vitesse, mais plutôt un marathon pour la vie, où chaque pas compte.

Saint Bénifils